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Dimitri Rassam, le cinéma dans le sang

Le producteur de Monte Cristo et de Limonov s’apprête à fouler deux fois le tapis rouge du Festival de Cannes. Itinéraire d’un enfant du sérail.

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Dimitri Rassam dans son bureau, à Paris, le 7 avril.
Dimitri Rassam dans son bureau, à Paris, le 7 avril.
© Julien Faure

Temps de lecture : 11 min

Pas de cigares, pas de pieds sur la table. Dimitri Rassam refuse d'être une caricature de producteur de cinéma. Ce garçon timide aux yeux verts vous accueille dans son bureau, situé dans un hôtel particulier du 7 e arrondissement de Paris et qui ressemble étrangement à une chambre d'enfants. Sur la cheminée, près des surligneurs fluo et des stylos Caran d'Ache pour faire des « to-do list » et annoter la cinquantaine de scripts qu'il reçoit chaque année – même s'il préfère les lire sur Kindle –, on trouve des figurines de Tintin, des Chevaliers du zodiaque, de Star Wars et du Petit Prince.

Une photo de lui tout sourire à 8 ans dans les bras de Francis Ford Coppola rappelle que son illustre parrain l'invitait lors des vacances d'été dans son domaine viticole de la Napa Valley, en Californi...

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Commentaire (1)

  • Rotondo

    Et le pistonné d’en rajouter : "Je ne pense pas être devenu producteur par atavisme. Plutôt par capillarité.