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C'est depuis toujours la tradition : la sombre journée du Souvenir des soldats tombés au cours des guerres d'Israël et des victimes du terrorisme bascule le lendemain, sans transition, dans la joie du jour de l'Indépendance. Si, dans la forme, cette règle établie depuis la création du pays a été encore une fois respectée, les différences sont, dans le fond, criantes. Ce lundi 13 mai, la cérémonie officielle d'allumage des flambeaux, qui, sur le mont Herzl à Jérusalem, ouvre les réjouissances, s'est déroulée sans public. Et, ce qui n'était jamais arrivé, elle a été enregistrée à l'avance. Par mesure de sécurité, avait expliqué Miri Regev, la ministre des Transports, chargée du scénario et de la réalisation de l'événement. Par crainte de possibles perturbations – sifflets, huées, protesta...
Nous aurions été mieux informés d'un simple flyer...
Kriegel distille homéopathiquement mais sûrement la propagande antisioniste... À la lire, les nombreux juifs de tout bord qu'elle est allée interviewer en voudraient presque à Tsahal...
Pourquoi donc ne parle t-elle pas des rockets tirées du Liban, quasi quotidiennement sur Ashkelon...
Totalement d’accord avec vous. On se demande encore et toujours comment madame Enderlin persiste et signe ces articles.
Madame Kriegel Enderlin. Toujours égale à elle-même. Ne déçoit jamais et pourrait faire sans déparer un stage chez LFI. Peut être même se faire une copine de la 7e de la liste.