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Plantons le décor politique. Nous sommes en 1979. Valéry Giscard d'Estaing et Jacques Chirac sont à couteaux tirés. François Mitterrand et Georges Marchais ne se supportent pas davantage. La droite est profondément divisée, la gauche ne l'est pas moins. La rupture entre le chef de l'État et son ancien Premier ministre date de la démission du second trois ans auparavant.
Elle s'est aggravée, en 1977, à l'occasion de l'élection municipale de Paris, dans laquelle Jacques Chirac s'est imposé face au candidat désigné directement par Valéry Giscard d'Estaing, Michel d'Ornano, qu'il a pratiquement ridiculisé.
Les élections législatives de 1978, pourtant gagnées par la majorité RPR-UDF, auraient pu rétablir le climat entre...
Ce fût une véritable et grande Dame qu'elle repose en paix avec les anges.
Courageuse et volontaire qui malgré cela, opposée aux attaques sournoises du camps Neuwirth and Co, eu droit en pleine nuit à la présence concrète et résolue de Jacques Chirac le PM, venu la soutenir en pleine nuit et en personne au moment crucial du vote ! Quant à VGE plus en retrait comme d’ordinaire il fut par compte prompt à voler plus tard au secours de la Victoire ! Peut être devait t’il cette nuit là être peut être occupé par ailleurs… à l’heure du Laitier ? Par exemple !. Autre temps, autres mœurs politiques !
Et oui, P'ti Loup, tout a suivi le chemin de l'école, en pente raide vers le gouffre !