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Le 1er mai 2024 ne restera peut-être pas dans les mémoires. Mais, s'il y demeure, ce sera comme le jour où Jean-Luc Mélenchon a saboté tout espoir d'union de la gauche. Il avait ravivé celui-ci au lendemain de l'élection d'Emmanuel Macron, en 2022. Il venait alors de terminer en troisième position à la présidentielle, et était convaincu que cette élection lui avait été volée. Comme Donald Trump en 2020.
Alors, il se portait candidat au poste de Premier ministre, avec pour instrument de conquête la Nupes, une alliance électorale signée sur un coin de la table avec des partenaires sonnés par leurs performances électorales humiliantes. Notamment le PS, avec son pathétique 1,7 %. Pour quelques circonscriptions, le parti de François Mitterrand acceptait de se soumettre à celui qui avait incar...
Il n’y a plus rien de démocratique chez lui, et ne pas dire qu’il est à l’extrême-gauche, c’est consentir une certaine légitimité à son action…
C'est triste de constater à quel point cet homme, cultivé et réputé intelligent autrefois, a pu se transformer ainsi.
De profundis...
Est un destructeur. Il détruit tout ce qu’il approche. Sa méthode de l’inversion de la preuve est la même que Poutine utilise et quand la ficelle est trop grosse il utilise celle de Trump tout aussi stupide jusqu’à nier l’évidence quand l’évidence ne le sert pas. Le drame est que s’il était seul à croire ce qu’il fait ce serait un clown mais des milliers d’admirateurs prennent ses idées comme des projets de gouvernance du pays cela devient dangereux car derrière cela nous entrerions en dictature à la mode de certains pays d’Amérique latine dont il est admirateur !