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La 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, celle qui juge les délits de presse uniquement, s'est prononcée. Charlotte Lewis qui était apparue nerveuse, nouée, s'excusant à plusieurs reprises de parler trop vite, de devancer les questions, souvent au bord des larmes lors de l'audience le 5 mars dernier a perdu. L'actrice britannique avait porté plainte en diffamation contre le réalisateur Franco-polonais, 90 ans, en mars 2020. En cause l'interview fleuve que celui-ci avait accordée à Paris Match en décembre 2019, mené par Hervé Gattegno, à l'époque directeur de la rédaction de Paris-Match et l'autrice de ces lignes, alors reporter.
Parmi les 43 questions que nous avions posées au réalisateur, quatre concernaient Charlotte Lewis. Interrogé sur les accusations de viol émises par Lew...
Ah les actrices ! Tu veux ou tu veux pas? Mettre 40 ans poir se décider? Regrets ou remords ?
Il faudrait cesser de geindre et grandir, comme Mme Godreche dont les parents ont été bien negligents !
L'époque était différente et les normes également !
"Je n'avais pas conscience qu'il s'agissait d'un viol... Parce que j'ai réalisé trop tard ce qui m'était arrivé"... Tout est dit. A l'époque les relations sexuelles posaient peu de problèmes. Ensuite est venu Me Too pour ouvrir des yeux trop candides... Ne conseille t'on pas pour une bonne compréhension d'une période historique de ne pas en juger les acteurs selon nos normes actuelles ?
Le viol cool vient d’être inventé par cette actrice ratée. Qui rêvait de sortir avec Polansky, qui voit son rêve se réaliser, qui couche avec lui sans contrainte et à une époque de totale liberté sexuelle puis met 41 ans avant de décider que''c’était finalement pas bien et qu’elle se sentait mal à l’aise'', ce qui lui donnerait le droit d’attaquer Polansky en Justice. Tentative ratée. Adèle Haenel doit s'en mordre les doigts...