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== La pintade dans la culture ==
Le {{25e|jour}} du mois de [[messidor]] ''(des moissons)'' du [[calendrier républicain]] / ''révolutionnaire'' français est dénommé « jour de la pintade », généralement chaque ''[[13 juillet]]'' du [[calendrier grégorien]]<ref>[[Fabre d'Églantine|Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine]], [https://books.google.fr/books?id=vVtWj-W-KP8C&printsec=frontcover&redir_esc=y#v=onepage&q&f=false ''Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française''], {{p.|28}}.</ref>. Des [[Korhogo (textile)|tissus africains]] figurant des pintades ou à petits motifs blancs sur fond noir sont surnommés « pintade ». L'écrivain [[Jules Renard]] la décrit comme {{Citation|bossue de la cour au crâne chauve et à la queue basse}} qui {{Citation|ne rêve que plaies à cause de sa bosse}}<ref>{{ouvrage|nom1=Louis Laloy, Deborah Priest|titre=Debussy, Ravel et Stravinski|éditeur=L'Harmattan|année=2007|passage=275|lire en ligne=https://books.google.com/books?id=N7agVot0iXcC&pg=PA275&lpg=PA275&dq=pintade+%2B+%22bossue+de+la+cour%22&source=bl&ots=RBcDJySZGR&sig=sRSgyok3o943Q3IGayqr_jo5FTg&hl=fr&ei=DK1TTvqiM4uA-waL7PW7Bg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CBcQ6AEwAA#v=onepage&q=pintade%20%2B%20%22bossue%20de%20la%20cour%22&f=false}}</ref>.