VélôToulouse

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VélôToulouse
Image illustrative de l’article VélôToulouse

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Situation Toulouse, Drapeau de la France France
Type Vélos en libre-service
Entrée en service
Stations 283
Véhicules 2 600[1]
Fréquentation 4 358 801 emprunts par an ()[2]
Propriétaire Mairie de Toulouse
Exploitant JCDecaux
Site Internet velo.toulouse.fr
Réseaux connexes TC à Toulouse :

Train urbain (TER cadencé) de l'agglomération toulousaine Train urbain
Métro de Toulouse Métro
Tramway de Toulouse Tramway
Téléo Téléphérique
Linéo de Toulouse​​​​​​​​​​​​​​​ Linéo (BHNS)
Liste des lignes de bus de Toulouse​​​​​​​​​​​​​​​ Autobus
TAD de l'agglomération toulousaine Transport à la demande
liO Cars Occitanie
liO Trains - TER Occitanie
Autres réseaux :
- VélôToulouse
- Citiz

VélôToulouse, est un système de location de vélos en libre-service mis en place sur la ville de Toulouse. Ce service est disponible depuis le , il est géré par JCDecaux, et plus spécifiquement par sa filiale, Cyclocity.

À l'ouverture, 600 vélos étaient disponibles dans 60 stations. 135 stations et 1 470 vélos sont en libre-service, en , dans le périmètre du grand centre-ville. La mairie de Toulouse annonce pour la suite la mise en place de 10 nouvelles stations par semaine, jusqu'à arriver à 283 stations[3] et plus de 2 400 vélos[4].

Présentation[modifier | modifier le code]

Le système, qui était à l'origine disponible de 5 h 30 à 2 h du matin pour la location d’un vélo et 24h/24 pour sa remise, est, depuis [5] ouvert à la location 24h/24.

En 2013, 30 stations supplémentaires sont installées et 300 vélos supplémentaires sont disponibles, ce qui porte à 283 le nombre de stations ouvertes et à 2 600 le nombre de vélos disponibles[6].

Certains vélos, à force d'usure ou de vandalisme, deviennent inutilisables. Les usagers ont instauré un « code » pour les identifier, en retournant la selle afin d'indiquer que le vélo à un problème.

Tarification[modifier | modifier le code]

Il existe 4 types d’abonnement :

  • annuel ;
  • mensuel ;
  • hebdomadaire ;
  • ou à la journée (24 h).

La première ½ heure d'utilisation gratuite, puis il y a une tarification par tranche horaire :

  • entre ½ heure et 1 heure ;
  • entre 1 heure et 2 heures ;
  • au-delà de 2 h : tarification par heure suivante.

Pour les abonnements au mois ou à l'année, la demande s'effectue par courrier (formulaire disponible à l'accueil de l'hôtel de ville, dans les mairies de quartier, à l'office de Tourisme...) ou via le site Internet de VélôToulouse. L'abonnement à la semaine ou le ticket 24 h se prennent directement aux bornes des stations à l'aide d'une carte bancaire.

Les abonnements « Pastel Tisséo » et « montoulouse » à 20 €/an permettent une utilisation rapide du vélo (scan carte + code à taper + sélection du vélo disponible).

Projets de développement[modifier | modifier le code]

Territoires desservis[modifier | modifier le code]

Aujourd'hui uniquement disponible sur la commune de Toulouse, le service devrait être étendu à partir de 2024 aux communes de Blagnac, Colomiers, Tournefeuille, L'Union et Ramonville-Saint-Agne[7]. La commune de Balma était également envisagée[8],[9], mais cette dernière a décidé de finalement créer son propre réseau[7].

Électrification du parc[modifier | modifier le code]

La mairie de Toulouse souhaite convertir la moitié du parc en vélos électriques à partir de 2024[7].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Chiffres clés 2016 VélôToulouse
  2. « Vélô Toulouse - Toulouse » (consulté le )
  3. « Comment ça marche ? », sur www.velo.toulouse.fr (consulté le ).
  4. « Un geste pour l'environnement », sur www.velo.toulouse.fr, (consulté le ).
  5. « VélôToulouse continue de faire peau neuve », sur www.velo.toulouse.fr (consulté le ).
  6. « La carte des nouvelles stations VélôToulouse », sur La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  7. a b et c Guillaume Laurens, « Toulouse. Stations en plus, vélos électriques… Le plan de la mairie pour réinventer VélôToulouse », Actu Toulouse,‎ (lire en ligne Accès libre [html])
  8. Anthony Assemat, « Toulouse : voici les villes de l'agglo où pourraient débarquer les vélos en libre-service », Actu Toulouse,‎ (lire en ligne Accès libre [html])
  9. Cyril Doumergue, « En ville, la bataille du vélo tourne à l’avantage de VélÔToulouse », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne Accès libre [php])

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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