Couverture fascicule

Lettres de Henri III, Roi de France, recueillies par Pierre Champion, t. I

[compte-rendu]

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, publiées avec des compléments, une introduction et des notes pour la Société de l'Histoire de France par Michel François. Tome I : 1557-août 157£. — Paris, Klinksieck, 1959.16X24 cm. de 385 pages. Pierre Champion, mort le 29 juin 1942, avait légué à la Société de l'Histoire de France des matériaux considérables pour l'édition complète de la Correspondance de Henri III, à charge de publier ce travail encore inachevé. Il avait en même temps désigné M. Michel François, professeur à l'Ecole nationale des Chartes, pour mener à bien cette tâche. Diverses circonstances en retardèrent jusqu'à présent l'exécution, entre autres le nombre considérable des lettres de ce roi, même si l'on excluait les actes scellés du grand sceau de la chancellerie ainsi que les lettres adressées à Henri III (sauf accessoirement). En effet, si l'on met à part les quatorze lettres retrouvées pour les années 1557-1566 et qui ne sont que les épaves d'une correspondance dont le volume ne fut certainement pas considérable puisqu'elle est celle du jeune duc entre sa sixième et sa quinzième année, c'est à un total d'environ mille lettres (compte tenu des numéros bis) que l'on arrive déjà pour les huit années qui suivent, et ce nombre ne fera que croître après le retour du souverain dans son royaume (août 1574) pour se stabiliser dès 1576, autour de cinq cents à six cents lettres par an ! Le premier Tome se limite à la période 1557-août 1574. En présence d'une telle masse, il était contre-indiqué de donner le texte intégral de chacune de ces lettres, d'autant plus qu'un certain nombre d'entre elles (par exemple aux différents papes, ici n' 21, 138, 459, 460, 648, 660, 820, 884, 885, 977, 986, 993, 994, 995, 999, 1004) ne sont souvent que des lettres d'intervention en faveur de tel ou tel personnage, toutes rédigées sur le même modèle, et que de toute façon la langue du xvi* siècle abonde en formules polies et en redondances inutiles. L'on conçoit que les

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